| | Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. |  |
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Loraline M. Chevalier
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 | | Sujet: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:19 | |
| |  (c) Cocaïne.CHEVALIER LORALINE MAYA ♣ « Pourquoi me présenter alors que durant tout ce temps la seule chose que vous regarderez seront mes seins ou mes fesses ? Je n'ai plus de dignité, je ne suis qu'un pantin dans les mains sales de ces mecs. Je suis comme une poupée gonflable. À LOUER, Loraline, poupée gonflable. En promotion. Connards. Jeune femme de 24ans, danseuse professionnelle. Bonne chanteuse. Française, quelque peu anglaise. Sait parler ces deux langues. Née à Angoulême le trois décembre mille neuf cent quatre-vingt-six. Puis après quoi ? Viendrait les qualificatif sur ma personnalités, les adjectifs les plus vendeurs tel que : Pas farouche du tout, docile etc... ? J'ai le regret de vous informer que je ne suis qu'une sale chieuse. Dynamique, impulsive, curieuse, confiante, casse-cou etc... Cependant aussi sensible et à fleur de peau. Il y a peu je vous aurait dit ambitieuse, malheureusement je n'ai plus le courage de me battre contre le vent. Je ne me bats plus pour réussir, mais pour survivre. Je vis dans une jungle, où les plus féroces ne sont que des mâles en rut. » Megan sexy Fox | |
♣ SOME QUESTIONS.
POURQUOI AVEZ-VOUS CHOISI DE TRAVAILLER ICI ?  J'ai pas vraiment choisis de travailler ici mec. Moi je voulais être une grande star, détrôner Marilyn Monroe, être connue et reconnue. J'ai jamais vraiment voulu faire le tapin. AIMEZ-VOUS CE QUE VOUS FAITES ? C'est une question fermée et pourtant la réponse semble bien complexe. Si je disais oui ce serait mentir, si je disais non s'en serait de même. J'aime danser, chanter et tout le blabla, c'est juste l'envers du décor qui est bien moins enviable. QUE PENSEZ-VOUS DES GENS VENANT VOUS VOIR ? Je pense que ce sont des hommes - oui parce que c'est la grande majorité - qui n'ont pas de jolis femmes à la maison, voire pas du tout. De gros pervers qui au lieu de s'astiquer devant un bon vieux film porno préfère mater nos fesses. Après c'est grâce à eux qu'on gagne tous notre blé, je n'ai pas à me plaindre. ET DE PARIS ? Paris, ville de lumière dit-on. Ville de l'illusion surtout. Il y a trop de rues sombre à mon goût, trop de gens malsain. Malgré tout c'est une ville enchanteresse qui m'aura jusqu'au bout, car je ne peux nier être tomber son sous charme. COMMENT AVEZ-VOUS ATTERRI ICI ? En train, j'étais jeune et insouciante. Je rêvais de strass et de paillettes alors je suis entrée au Moulin Rouge. J'étais ambitieuse et je pensais qu'après quelques démonstrations de chant et de danse l'affaire était de le sac. Je me suis mis le doigt dans l'oeil, et bien profond.  © showbizzy@lj | - Spoiler:
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Dernière édition par Loraline M. Chevalier le Lun 17 Mai - 21:26, édité 14 fois |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:20 | |
| ♣ SOME CHAPTERS OF MY LIFE.
« J'avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c'était ça la liberté. »
Pas besoin d'être philosophe pour se poser des questions sur sa vie. Existe-t-on vraiment ? Et si tout ceci n'était qu'un rêve ? N'avez-vous jamais imaginé que votre vie était comme un jeu vidéo ? Nous avons les manettes, à nous de tous diriger. Si seulement c'était aussi simple. Certains croient à tous ces trucs de destin, comme si une force toute puissante pouvait nous diriger. Il nous guide sur le bon où le mauvais chemin, sérieusement à quoi ça rime ? Il déciderait dès notre naissance si on doit séjourner en Enfer ou au Paradis après la mort ? C'est ce à quoi aboutit le destin. Ce serait comme ces conneries sur le grand amour, il paraît que l'on voit un feu d'artifice quand on embrasse la bonne personne. Il y a encore des tas d'exemples, pourtant ce ne sont que des histoires farfelues pour ensoleiller notre quotidien. Le matin on se lève et on espère que la journée sera différente de la précédente, qu'il y aura ce petit truc qui déclenchera tout. On l'attendra patiemment, pour finalement se rendre compte que ce n'est pas le vent qui va nous amener quelques péripéties. La vie est trop courte pour être gâchée, pourquoi la laisser passer tranquillement quand on pourrait en profiter à fond ? Déclencher soi-même les évènements, c'est ça qui est bon.
♠ CHAPTER 1.  Vous avez une sorte de désespoir hystérique dans votre rire.
Je ne me rappelle pas son visage, je ne l'ai simplement pas connu. Elle est morte pour avoir donner la vie, elle est passée de l'autre côté pour cette chose dont elle ne sera jamais fière. Pour moi. J'ai vécu sans ma mère depuis la naissance, il serait difficile de dire que je n'y ai jamais pensé. En réalité je me suis toujours demandée ce que cela faisait d'avoir une maman. Mais j'ai survécu et je ne sais pas vraiment si c'est grâce à mon père. Il avait souvent des sautes d'humeur, je me souviens qu'à chaque fois qu'il regardais une photo de maman et qu'après il levait son regard vers moi il avait cet air si sévère. Il disait que je lui ressemblait chaque jour un peu plus, que je devenais de plus en plus belle. Parfois j'étais sa fille chérie, le plus précieux de ses trésors, j'étais enfin la chair de sa chair. C'était mes moments favoris, ils étaient rares et doublement agréables. J'aimais mon père, je lui ai toujours pardonné ces écarts de comportements envers moi. C'était de ma faute, je le savais. Quelques fois je me regardais dans un miroir et j'imaginais tout ce que je ferais pour rendre fier mon père. Enfant je rêvais déjà d'être la femme la plus connue au monde. Je voulais que mon père sache que je n'étais pas ici pour rien, j'allais réussir pour lui. Un jour alors qu'il m'emmenait à l'épicerie du coin pour m'acheter une sucette en forme de coeur je lui fis part de mon envie de devenir une grande star. Il s'était agenouillé devant moi, le sourire aux lèvres et avait simplement dit « Tu seras la plus grande ». C'est dans mes moments les plus bas que je me remémore ces instants magiques. Chaque soir je donnais une mini représentation devant mon père, je chantais et dansais pour lui. Nous n'avions pas les moyens de me payer des cours de danse ou de chant, je me débrouillais seule et je le faisais bien. Lorsqu'il était de bonne humeur il me regardait avec ses yeux pétillants et me prenait dans ses bras pour me susurrer que j'accomplirais de grandes choses. Parce que j'étais comme ma mère, je serais la femme la plus douce du monde. Ils me disaient – pour me charrier – que les hommes auraient un filet de bave parce que j'étais la plus jolie et je lui répondais que je ne me marierais jamais avec un garçon qui bave. Mes relations avec mon père ont été plus ou moins bonnes jusqu'à l'âge de quinze ans. Lorsqu'un jour je lui ai dit que je voulais partir pour Paris il s'est énervé disant que j'étais une grande fille maintenant et que mes rêves de gosses devaient cesser. Mon père ne croyait plus en moi, en mon talent. Nous nous sommes disputés durant une nuit entière, je ne pouvais simplement pas renoncer. La danse et le chant, c'était tout ce que j'avais. Tout ce que je savais faire. Tout ce pourquoi j'étais née.
♠ CHAPTER 2.  La capote c’est le soulier de verre de notre génération, on l’enfile quand on rencontre une inconnue, on « danse » toute la nuit, et puis on la balance... la capote j’veux dire, pas l’inconnue.
J'étais dans la gare, attendant patiemment mon train, direction Paris. J'avais l'impression d'être de ces clichés dans les films, ces filles qui fuguent pour trouver le bonheur. J'étais de cela. Je n'étais qu'un cliché, celui de la jeune fille perdue et qui rêve de réussite. Seulement ma vie était loin d'être un film et ma chance d'arriver sur le podium était mince. J'étais encore jeune et insouciante, bercée de rêves. Je n'avais que dix-huit ans et je me préparais à vivre le voyage de ma vie. Après tout, puisque mon père ne voulais plus rien avoir à faire avec moi je pouvais bien partir. Il me l'avait dit la veille lorsque je lui avais fait part de mon envie de m'évader. Il avait dit d'un ton posé « Tu peux bien faire ce que tu veux, je n'en ai plus rien à faire ». Bien, je n'avais pas besoin de lui. Moi j'y croyais, c'était suffisant. Quelle jeune fille naïve ai-je bien pu faire. Je suis finalement montée dans ce train, avec l'impression d'accomplir quelque chose de grand. Au fond de moi je savais que j'avais pris la bonne décision, alors qu'en réalité je n'avais agis que sur un coup de tête. Parce que j'ai toujours été comme ça, impulsive, je fonce tête baissée. J'agis et après je réfléchis.
Puis j'ai posé le pied à Paris, belle et lumineuse capitale de la France. Mes bagages pleins d'illusions dans les mains. Au fond c'était quand même quelque chose, arriver à Paris n'est-ce pas un peu une réussite en soi ? Je crois que j'ai tout de même toujours été fière de vivre dans la capitale. Cela n'exclue pas le fait que l'on y vit pas forcément comme dans un cinq étoile. Je suis bien vite descendue de mon petit nuage lorsque je me suis rendue compte que je n'avais nulle part où aller, ce n'était pas avec mes dix petits francs que j'allais avoir droit à du luxe. Puis il fallait bien avoué, qu'avant de me payer un matelas douillet j'avais un peu réfléchie. Ne vaut-il pas mieux manger que dormir confortablement ? J'étais venue les mains dans les poches, pensant trouver tout ce dont j'avais besoin en un claquement de doigt et j'avais tort. Il me fallut un mois pour trouver un travail plus ou moins décent. Ce n'était pas la belle vie, je n'étais pas une super star et personne ne m'adulait sauf les sales pervers qui mettaient des billets dans mon string. Je n'étais pas strip-teaseuse, je dansais à la barre avec un minimum de vêtements. Je n'avais qu'un string et un soutient-gorge. Mon patron, un certain Peter était assez sympathique avec les danseuses, enfin du moins je le croyais. Je me suis vite rendu compte qu'enfaite s'il était si gentil avec les autres filles c'est qu'elles aussi étaient vraiment très gentilles avec lui. Je n'étais pas de ce genre là. Je ne voulais pas de sa sympathie si ça signifiait coucher avec lui. J'ai tout de même su le supporter un an. À aujourd'hui je me demande encore comment je m'en suis sortie indemne. Cependant je devais vraiment être considérée comme une emmerdeuse pour qu'il me laisse partir sans histoire, lorsque j'avais fait part à l'une de mes « collègues » que je souhaitais sortir de là elle avait simplement dit « Ca m'étonnerais que tu partes sans lui donner quelque chose en retour. J'veux dire que ce mec est un vrai chieur et il considère que ses danseuses sont ses propriétés. Tu sais c'est comme lorsque tu as un petit chien, tu ne le laisses pas partir tout seul dans la nature. » Je suppose que j'ai simplement eu de la chance.
Peu de temps après, je suis entrée dans le moulin rouge. Et je dois dire que c'était assez spectaculaire.
♠ CHAPTER 3.
 
On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies.
Enfaite, je sais simplement que les contes de fée portent ce noms parce qu'ils ne sont pas réels. Je n'avais pas encore compris cela, même après un an de pure merde dans Paris. Cette ville me donnait de l'espoir. La première fois que je suis entrée dans le moulin rouge c'était parce que j'avais réussi à me faufiler au milieu du tas de gens afin d'y voir le spectacle. J'ai été éblouie par ces belles danseuses et leurs sortes de déguisements. Ce n'était pas cela que j'imaginais la nuit lorsque je dormais, mais ça paraissait magique sur l'instant. J'ai toujours été quelque peu maligne et de toute façon il ne fallait pas s'appeler Einstein pour deviner qui était le dirigeant du Moulin Rouge. Il était assis dans une sorte de loge privée, sur un balcon. Et lorsque je l'ai vu, je me suis dit que cette fois c'était la bonne. J'avais vu le film avec Nicole Kidman, j'en étais tombée amoureuse.Je m'étais juste dit qu'il ne fallait pas que je tomber amoureuse du mauvais garçon. Ça paraissait plutôt simple enfaite. J'étais une danseuse et une chanteuse et je pouvais y arriver. Je ne me souviens plus comment j'ai pu avoir cet entretient, mais je sais que quelques jours plus tard j'intégrais le club. Au début la vie était plutôt simple, j'avais un salaire donc de quoi me payer de quoi me nourrir ainsi qu'un petit logement – plutôt merdique. Mais c'était toujours mieux qu'avant. Ce que je n'avais pas prévu, c'était le contre-coup. Au tout début, ce n'était rien du tout, j'étais une débutante je ne me faisais pas trop emmerdé. Puis les mois sont passés, je n'irais pas jusqu'à dire que je me suis fait un nom. Je pense surtout que les gens me voyaient seulement que comme une sorte de joujou danseur. J'aimais monter sur scènes, je ne le nierais jamais. J'ai toujours eu l'impression d'être le centre de l'attention à ce moment, je brillais tout simplement. Puis il y avait le soir, après toutes ces paillettes et ces danses divines. Je ne pouvais plus rentrer chez moi sans être traitée comme une prostituée. C'est à ce moment là que je suis tombée de haut. Finalement, je n'étais pas devenue une célébrité internationale, je n'étais qu'un vulgaire bout de chiffon. J'étais une danseuse parmi toutes les autres du cabaret. Autant ma vie pouvait paraître lumineuse lorsque je me trouvais sur scène, autant elle pouvait être noire quand les projecteurs s'éteignaient. Aussi noire que la salle vide.
Dernière édition par Loraline M. Chevalier le Mer 26 Mai - 15:00, édité 27 fois |
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J. Sobhiàn Hansworth
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:27 | |
| BIENVENUE  Et merci d'avoir pris la belle  Si tu as des question, ma boite t'est ouverte  |
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A. Bonnie Shaw
maybe one day, but today, you're my little bitch.
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:27 | |
| MEGAN  bordelou, vous allez me tuer avec vos choix d'avatars (à) bien entendu, je te la réserve pour trois jours (à) bienvenue et bonne chance pour ta fiche mon chou  |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:37 | |
| Quand j'suis arrivée je me suis dit " Je prendrais pas Megan, je prendrais pas Megan "
j'ai vu qu'il y avait un scénario alors j'ai pris Megan x)
Bref, merci les filles
Scarlett & K.Stew *-* |
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A. Nyx Redbird
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:38 | |
| MEGAN  Excellent choix.  Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. (: |
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Cookayne Q. Simpson
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:41 | |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 17:44 | |
| Merci les filles |
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J. Neel Dreyscott
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T'habites où ? : dans une maison, pourquoi?
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 19:14 | |
| bah les pattes, la minette est à moi. 
bienvenue, sinon. (aa)
- Spoiler:
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 19:26 | |
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J. Neel Dreyscott
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 19:31 | |
| mouhahaaa, tu vas m'plaire toi. (a)
et tu vas surtout plaire à Neel, didjouu ♥ j'espère que t'as pas peur des psychopathe en manque en liberté? (aa) |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Dim 16 Mai - 19:35 | |
| Je n'ai peur de rien, mon chou (a) |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mer 19 Mai - 18:26 | |
| Désolé du DP, mais j'aimerais savoir si c'est possible de me réserver le perso encore jusqu'à Samedi.
Cette semaine j'ai plusieurs bacs blanc, donc pas énormément de temps. Mais ça devrait revenir tranquille ensuite & je tiens vraiment au perso.
^^'
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A. Bonnie Shaw
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mer 19 Mai - 19:56 | |
| Sans problème, je t'accorde donc trois jours supplémentaire pour ce qui est de l'avatar ;P |
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A. Bonnie Shaw
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Lun 24 Mai - 8:30 | |
| réservation touchant à sa fin et délai pour faire ta fiche également.
il serait temps de la terminer si tu ne veux pas la voir balancée aux oubliettes... |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Lun 24 Mai - 13:04 | |
| Oui je sais. Ma fiche avance, doucement certes mais sûrement.
Enfaite il ne me reste plus qu'à terminer le chapitre 3. Il arrive x) |
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A. Bonnie Shaw
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mar 25 Mai - 19:11 | |
| MDR. d'accord, dans ce cas, nous te laissons terminer ;P |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mar 25 Mai - 21:01 | |
| AAHH désolé T.T
j'étais censé terminer hier, c'était le cas enfaite. Mais à cause d'un bug tout mon chap 3 s'est fait la malle. Bref, je recommencerais ça demain aprèm. J'ai pas trop le courage ce soir >< |
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Loraline M. Chevalier
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mer 26 Mai - 15:02 | |
| TADAAAAAMM ma fiche est Enfin finie. Je suis vraiment désolé pour tout ce retard, d'habitude je ne met pas autant de temps. Bref, c'est terminé  |
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A. Bonnie Shaw
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Mer 26 Mai - 16:35 | |
| Je pense qu'attendre en valait la chandelle ;P Je te valide ma belle Bon jeu ! |
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| | Sujet: Re: Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. | |
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| | Lora ♠ On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. | |
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